22 juillet 2009

Jacques SEGUELA, marieur de président dépressif

"Jacques, c'est Nico, j'ai besoin d'une femme, là, je craque, fais-moi un dîner de copains chez toi, avec ta bande, je n'en peux plus d'être seul le soir à l'Elysée." Le président était aux abois, j'ai pris les choses en main. Pognon à gogo, physique altier, à la Cécilia, corps de pin-up, bête de sexe, bête de médias, et en plus de ça elle a oublié d’être bête… je savais que Carla lui taperait dans l'œil. Carla, es-tu cap, à cet instant, devant tout le monde, de m'embrasser sur la bouche? qu'il lui dit d'emblée, l'autre! Emballez, c'est pesé!
La suite, vous la connaissez, les médias se sont régalés, je me suis même fait un peu de thune avec ça en écrivant un bouquin. (Pas celui qui est reproduit à côté… ça, c'est le bouquin que je leur ai offert comme cadeau de mariage…)
Trois ans et demi plus tard (je vous rappelle que l’histoire dans laquelle je vais jouer un rôle éminent se déroule en juillet 2011), c'est reparti comme en quarante, le président a de nouveau un problème de femme, et là, c'est du sérieux. Avec Carla, c'est toujours du sérieux… (Je ne peux vous en dire plus, sinon la production va rompre mon contrat.) Et la femme, chez Nicolas, c'est essentiel. Sarko (je ne sais plus si c'est Guéant ou Guaino qui a dit ça), il est encore en construction, il se comporte comme un ado.